Je me souviens de ce roman dévoré dans une autre existence, à la veille de mes noces.
“Ton futur époux te fera boire la ciguë si tu ne romps pas ces fiançailles !” Alors j’ai saisi le prêtre.
“Mon général, vous êtes blessé ?” s’écria un templier en accourant vers l’homme que je venais d’embrasser.
Ce simple ecclésiastique était donc le grand maître des ordres sacrés ?
Rurutia, pressentant sa mort imminente, avait cherché refuge en ce lieu saint.
Son empire commercial, bâti avec ses compagnons, fascinait les foules.
“Vous tenez les rênes du destin, noble dame !”
“Êtes-vous une déesse descendue parmi nous ?”
Le commandant, écrasé par son diadème, commettait d’étranges actes.
“Je n’ai qu’un vœu : t’épouser”, chuchota-t-il, les yeux brûlants.
“Ce baiser furtif engage ta responsabilité.”
Tout a déraillé. Ma vie n’est plus qu’un vertige.
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