Je fus projetée dans «L’Adversaire du Dragon», devenant Tiarosetti Isol, un simple figurant. Un guide énigmatique m’apprit que je ne pourrais regagner mon monde qu’en achevant le destin de Lexion. Mais j’ignorais tout du scénario, et chaque écart déclenchait une punition cruelle – l’intrigue basculait vers mes pires craintes.
Malgré ma volonté de suivre le script, l’impensable se produisit : Lexion vola mon cœur. «Adieu», chuchotai-je en mourant pour lui. La fin fut altérée, et je me réveillai au début du roman.
Lexion, cette fois, me saisit le bras, son regard enflammé : «Reste avec moi, Tia. Je défierai le destin lui-même.» Le héros, désormais obsédé, fit de moi l’héroïne malgré tout.
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